L'ARMEMENT



L ARMEMENT.


Les sous marins ainsi que les bâtiments de surface utilisent tout un éventail d’armement ASM leurs permettant de rivaliser. Tout le monde le sait, la principale arme du sous marin est la torpille. Cependant ce dernier peut emporter des missiles, des mines, des leurres...


Les torpilles


La torpille est un engin sous marin autopropulsé autonome ou non.


divers versions existent donnant à ses dernières des capacités(portée puissance de la charge militaire etc...) différentes. Les torpilles utilise maintenant des sonar internes ainsi que des centrales inertielles ce qui leur permet d’être autonomes. Cependant la création du filoguidage a permis d’augmenter leur précision. Le filoguidage est tout simplement le fait de relier la torpille à un fil qui permet de guider précisément sur son objectif. Ces armes ont une vitesse allant de 50 à 120 km/h et les charges militaires (explosif) de 50 à 500 kg et plus d’explosif brisant (HE). Il existe également des ogives militaires à charge creuse, ce qui permet à l’arme de ne pas exploser tout simplement mais de créer une importante voie d’eau sur un sous marin ou un bâtiment de surface. Les torpilles peuvent être lancées de différente façon. Soit par un sous marin, soit par un navire de surface, soit pas un avion ou hélicoptère.

Pour que le sous marin puisse lancer une torpille il a besoin d’avoir un certain nombre d’élément à rentrer dans ses calculateur de tir. Cet élaboration s’appelle la solution de tir. Elle est déterminé par la vitesse la distance l’immersion et le relèvement (360°) par rapport au lanceur. Cette solution de tir est obtenu en effectuant des branches, autrement dit en zigzaguant, afin de pouvoir déterminer à l’aide du sonar passif tout ses éléments. Cela prend un peu de temps mais est parfaitement discret. La où cela devient beaucoup difficile c’est quand les deux sous marin effectuent des branche de détermination de solution de tir l’un sur l’autre. Là doivent intervenir des calculateur et même en dépit de cela la solution ne reste valable qu’un moment donnée à cause des évolutions de l’objectif.(AZIMETRIE). La solution peut être relevé au sonar passif ou actif. En actif, le sonar émet une ou plusieurs onde sonore dans l’eau dans la direction supposé de l’objectif (bandes étroites) ou bien alors une onde tout autour de lui (bandes larges). Si cette onde touche le sous marin adverse ou tout autre objectif marin, elle rebondit et revient vers le sous marin (même principe que le radar). Lors du retour de l’onde la solution est immédiatement établi et connue sauf cas particuliers. Alors le SM peut tirer une torpille sur l’objectif. La solution de tir est entrée dans l’ordinateur de la torpille. Il est possible de lui faire prendre des trajectoire divers et variés afin de faire croire à la victime que le chasseur n’est pas là où il le croyait. Dans un premier temps la torpille est passive, elle se dirige juste en écoutant et prenant compte des paramètres de la solution. Une distance de sécurité est en place sur ses armes. Quand l’arme dévie de plus de 160° par rapport à l’axe de lancement, la propulsion de cette dernière s’arrête et elle coule, cela empêchant à la torpille de se retourner contre son sous marin lanceur. Cette sécurité peut être enlevé (et peut l’être systématiquement) avec une relative tranquillité dans le cas d’un filoguidage, car en cas de mauvais retour il est toujours possible de changer la trajectoire de l’arme. Il y a également une sécurité sur la distance d’armement de la charge militaire. La charge explosive ne s’arme qu’après avoir parcouru une certaine distance en général de 800 à 1200 mètres. Mais cette distance peut être modifiée à volonté. Après être lancée la torpille se dirige vers l’objectif, soit guidée par le sous marin soit seule, arrivée à faible distance du contact supposé sont radar actif se met en route (si prédéfini) et recherche le contact suivant les informations de la solution de tir et de son sonar actif en relation avec celui du sous marin. Une fois qu’un but ou que le but a été repérer le sonar actif bombarde l’objectif d’ondes sonores afin de le suivre comme un missile à tête chercheuse. Ensuite la charge militaire s’arme, la torpille gagne toujours du terrain sur l’objectif et arrivée à une dizaine de mètres de l’objectif explose (si elle utilise une fusée de proximité) ou bien explose au contact. Avec une charge moyenne de 200 kg d’explosif brisant le sous marin ennemie a en règle général soit une bonne partie de sa coque externe détruite à l’endroit de l’impact soit est éventrée provoquant une voie d’eau sans précédent entraînant ce dernier à coup sur le fond.




LES MISSILES


Les submersibles disposent également de missiles (à changement de milieu) cela signifie que l’arme est dans une enveloppe étanche qui parcoure la distance du sous marin à la surface de l’eau dans sa capsule, arrivée à la surface il est éjecté et se dirige vers l’objectif. Certaines de ces armes, en général plutôt des missiles mer-air n’ont pas de capsule mais à l’aide de leurs propulseur produisent une extrême chaleur ce qui porte l’eau de mer en ébullition et crée une bulle de gaz chaud autour de l’arme ne l’a mettant pas au contact de l’eau.


Ils y a différent types de missiles. Les missiles de croisière, dont l’objectif est en général une cible terrestre ou bien une cible de surface de grande importance (porte avion par exemple). Je parle de missile de croisière en ayant une pensée pour le TOMAHAWK qui est pour moi l’arme de croisière par excellence. Ces armes comme les torpilles ont également besoin de solutions de tir. Cependant dans le cas de gros missiles de croisières à longue portée, ils utilisent d’autres procédés de navigation comme les satellites ou bien alors des trajectoire préprogrammé dans le centrale de navigation. Ces solution sont très compliquées. Cependant, il existe tout une gamme de missiles de croisière anti navire ou anti sous marin simple et rapide d’emploi, comme le JAVELOT l’EXOCET HARPOON OWSOW et bien évidement j’en passe. Ces missiles nécessite pratiquement la même solution de tir que pour les torpilles, elle peut également être déterminée au sonar actif passif, par le biais du radar comme de capteur ESM. En règle général ces missiles peuvent avoir deux trajectoires bien particulières. Soit une trajectoire rasante, à 1 2 ou 3 mètres au dessus de la surface de la mer. Soit des trajectoire d’attaque en piqué, cela signifie que le missile monte très haut et quand il arrive pas très loin de l’objectif il amorce un piqué pratiquement à la verticale (ce qui entraîne parfois des difficultés pour son interception) sur la cible. Le missile est éjecté de sa capsule de protection qui coule par la suite, monte un peut sous la poussé de ses moteurs fusées, arrivée à une certaine altitude les boosters d’appoint se coupent et les stato réacteurs se mettent en route et le missile descend ou monte afin de respecter la trajectoire d’attaque prédéfinis. Bien évidement la démarche que je vient de citer n’est valable que pour quelques armes, les possibilités de ses nouveaux vecteur sont telles qu’il faudrait réaliser individuellement et par arme une fiche pouvant atteindre plusieurs pages. En trajectoire rasante, le missile peut frapper la cible soit au dessus de la ligne de flottaison, ou bien en dessous, il plonge au dernier moment et vient exploser à 1 ou 2 mètres sous l’eau au contacte de la coque. En règle général les missiles n’explosent pas simplement au contact mais attendent d’être rentrée dans la structure de la cible et explosent à l’intérieur provoquant des dégâts majeurs. Une missile de croisière supersonique peut très bien pénétrer à un endroit de la coque où celle ci n’est que très faiblement protégée, ce qui lui permet de pénétrer les superstructures et d’exploser à plusieurs mètres à l’intérieur du bâtiment.


LES MINES SOUS MARINES.


Ces armes datant de la dernière guerre sont toujours très utilisées. Cependant elle ont une tout autre technologie, dans beaucoup de cas elle sont devenue intelligente, elle peuvent reconnaître leur cibles, ou bien rester immergée à une profondeur bien définie et dériver en silence, se plaquer par magnétisme contre la coque de leur victime et n’exploser que quelques temps après dans une zone bien défini. Ces mines sont immergé en général soit par des sous marin, soit par des navires mouilleurs de mines. Dans le cas des sous marin, ils sont mis en oeuvre par les tubes lance torpilles, ou bien dans le cas des soviétiques et sur certains types de bâtiment par des sas de mouillage de mines bien particuliers. Elle ont une grande autonomie, un sonar dans la plus part des cas. Une charge allant de 50 à 300 kg d’explosif brisant. Elle peuvent rester à une immersion bien définie à l’aide de système d’admission et d’éjection de l’eau de mer.


LES LEURRES ANTI TORPILLES. (armes de défense).


Jais placé les leurres dans la famille de l’armement car j’estime qu’elles en font partie, servant à lutter contre d’autres armes. Les leurres anti torpilles sont très répandus, pour être plus simple tout sous marin d’attaque nucléaire ou non se doit d’avoir un moyen de défense contre les mangeuses de coque. Sachant que les torpilles recherchent du bruit (cavitation etc...) il a fallu faire des leurres qui donnent au autodirecteurs des torpilles ce qu’elles veulent. Pour cela il a été développé ce que j’appelle moi des sac effervescent, en l’occurrence un conteneur de petit taille ressemblant à un baril par exemple contient de la matière effervescente qui provoque un nuage de bulles sous l’eau. La particularité des leurres c’est qu’il restent pratiquement à l’immersion où ils ont été lancés et descendent peut à peux en tendant un rideau de bulle masquant le sous marin en fuite. En règle générale, le SM après avoir lancé ses leurs 1 ou deux en moyenne continu sur 2 à 300 mètres puis change de cap brutalement afin de ne pas se retrouver dans le champs de la torpille quand cette dernière aura traversée ce champs de bulles aveuglant littéralement sont autodirecteur. Le sous marin peut alors espérer que cette dernière va poursuivre droit devant elle effectuer une petite recherche en zigzag et voyant qu’elle a perdue le contact stopper sa propulsion et couler. Ils y a également des leurres, que j’appellerais un peux plus actifs, ils sont utilisé quand les premiers ont échoués. Ces sont des petites charges de profondeur avec une minuterie qui sont lancée sur la trajectoire de la torpille. Restant à la même immersion, ils explosent aux plus près de la torpille lors de sont passage lui faisant apparaître devant sont sonar une masse solide (comme une coque) en réalité l’onde de choc de l’explosion, en règle général la torpille explose. Il arrive également que la torpille même leurrée par les première contre mesures arrive à retrouver le contact, tout dépendant de sa programmation ainsi que de sa maniabilité. (capacité à évoluer supérieurement au sous marin)


Maintenant pour ceux qui auraient besoins d’informations spécifiques à un type d’arme donnée peuvent toujours m’envoyer un mail et je m’efforcerais de leur envoyer une description technique des capacités ainsi que des photographies dans la mesure du possible (dans la limite des stock disponibles sur le disque dur :)


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